30 Mai

Déclaration conjointe de la société civile burundaise pour exiger la Tanzanie d’arrêter le processus de persécutions contre les réfugiés burundais.

Les organisations de la société civile burundaise signataires de cette déclaration sont profondément alarmées par la crise humanitaire qui affecte les réfugiés burundais en Tanzanie. Cette situation, qui perdure et s’aggrave depuis la fin de 2019, devrait être une préoccupation majeure pour tous ceux attachés aux valeurs des droits humains. Contraints de fuir leur pays natal, le Burundi, en raison de la violence et de l’instabilité découlant de la crise de 2015, ces réfugiés ont trouvé refuge en Tanzanie. Cependant, loin d’être un sanctuaire, ce pays d’accueil est devenu le théâtre d’une série d’atrocités perpétrées par les forces de police et de renseignement du Burundi et de la Tanzanie. Les opérations menées sous couvert de la nuit se traduisent par des disparitions forcées, des détentions arbitraires et des actes de torture, faisant des camps de réfugiés des lieux de terreur plutôt que de sécurité.

URGENT Stop au rapatriement forcé des réfugiés burundais en Tanzanie

26 Mai

RAPPORT N° 441 DE SOS-TORTURE BURUNDI PUBLIE LE 26 MAI 2024

 

Le présent rapport de SOS-Torture Burundi couvre la période du 18 au 25 mai 2024 concernant les cas de violations des droits de l’homme au Burundi.

Au cours de cette période, au moins quatre (4) personnes ont été assassinées dans les provinces de Bubanza, Bururi, Cibitoke et Gitega.

Le rapport déplore aussi le cas de cinq (5) personnes qui ont été battues par des agents du Service National de Renseignement (SNR), de la police et des Imbonerakure dans les provinces de Cakunzo, Gitega et Rutana ainsi que celui de quatre (4) autres qui ont été enlevées dans la province de Ruyigi et en mairie de Bujumbura.

Rapport hebdomadaire n° 441

19 Mai

RAPPORT N° 440 DE SOS-TORTURE BURUNDI PUBLIE LE 19 MAI 2024

Le présent rapport de SOS-Torture Burundi couvre la période du 11 au 18 mai 2024 concernant les cas de violations des droits de l’homme au Burundi.

Au cours de cette période, au moins deux (2) personnes ont été assassinées en mairie de Bujumbura et dans la province de Kayanza.

Le rapport déplore aussi le cas de quatre (4) personnes qui ont été arbitrairement arrêtées en mairie de Bujumbura et dans la province de Makamba et celui de cinq (5) autres qui ont été enlevées dans les provinces de Bubanza, Makamba et en mairie de Bujumbura.

Rapport hebdomadaire n° 440

12 Mai

RAPPORT N° 439 DE SOS-TORTURE BURUNDI PUBLIE LE 12 MAI 2024

Le présent rapport de SOS-Torture Burundi couvre la période du 4 au 11 mai 2024 concernant les cas de violations des droits de l’homme au Burundi.

Au cours de cette période, au moins treize (13) personnes ont été assassinées dans différentes localités du pays dont six ont succombé à leurs blessures à la suite des grenades qui ont été lancées en mairie de Bujumbura et dont l’explosion a également occasionné vingt (20) autres personnes blessées.

Le rapport déplore aussi le cas de neuf (9) personnes qui ont été enlevées à Bujumbura et en province de Muyinga.

Rapport hebdomadaire n°439

3 Mai

Burundi: Déclaration conjointe à l’occasion de la journée internationale de la presse

À l’occasion de la Journée mondiale de la liberté de la presse,19 organisations de la société civile burundaise unissent leurs voix pour dénoncer la persécution continue des 2 journalistes et la violation éhontée de la liberté de la presse. Depuis le début de la crise politique de 2015 consécutive au 3ème mandat anticonstitutionnel du Président Pierre Nkurunziza, le Burundi s’illustre par la dégradation continue des conditions de travail des journalistes et la restriction drastique de l’espace civique orchestrée par le régime CNDD-FDD au pouvoir.

BURUNDI Déclaration sur la liberté de la presse