11 Mai

RAPPORT N° 491 DE SOS-TORTURE BURUNDI PUBLIE LE 11 MAI 2025

Le présent rapport de SOS-Torture Burundi couvre la période du 3 au 10 mai 2025 et documente les cas de violations des droits de l’homme commis au Burundi.

Au cours de cette période, trois (3) personnes ont été assassinées dans les provinces de Gitega et Muramvya.

Le rapport signale également le cas d’un (1) militant du parti Sahwanya-FRODEBU  grièvement blessé par des Imbonerakure en province de Makamba, ainsi que celui de deux (2) personnes enlevées en mairie de Bujumbura.

Rapport hebdomadaire n° 491

 

8 Mai

Rapport d’analyse conjoint sur la situation des droits humains au Burundi(octobre 2024-février 2025)

Le présent rapport, couvrant la période d’octobre 2024 à février 2025, porte sur le travail de monitoring des violations des droits humains au Burundi tel que mené par cinq Organisations de la Société Civile (OSC) assemblées au sein de la « Communauté De Pratiques » (CDP) dont : le FOCODE, le FORSC, SOS Torture, la Ligue Iteka et le Mouvement INAMAHORO. Les principaux domaines qui font l’objet du monitoring sont notamment : les enlèvements, les disparitions forcées et les abus judiciaires, les violations des droits fonciers avec un accent particulier sur les droits fonciers des femmes et des filles, les arrestations et les détentions arbitraires, les violences basées sur le genre (VBG) et les violences envers les enfants, et les violations des droits humains dans les zones d’extraction minière.

Sans être exhaustif quant à reprendre tous les cas monitorés pendant une période de cinq mois (octobre 2024 à février 2025), il sied de préciser que cette période a été marquée par des cas de violations des droits humains dans un contexte sécuritaire préoccupant, notamment à l’Est de la RDC. Il a été ainsi observé des arrestations et détentions illégales, des tueries et/ou disparitions forcées et des abus judiciaires, perpétrés dans un climat d’impunité totale. Basé sur des informations réelles et vérifiées sur terrain, ce travail de monitoring fait également référence aux instruments juridiques nationaux et internationaux régulièrement ratifiés par le Burundi réaffirmant le caractère sacré des droits et libertés des citoyens.

Ainsi la société civile, comme acteur indépendant et contrepoids des gouvernants, joue un rôle important de « watchdog » pour assurer le suivi du respect des droits humains et des libertés fondamentales des citoyens pour assoir l’Etat de droit.

En vue de documenter et d’informer l’opinion nationale et internationale sur les différentes violations des droits humains et exiger des comptes aux autorités burundaises face à leur action ou inaction, il est impératif d’agir pour garantir la justice aux victimes et prévenir la répétition des abus. Comme elles le décrivent dans les lignes qui suivent, les organisations membres de la CDP ont pu collecter des informations sur des abus qualifiés de cas emblématiques de violations de droits humains au Burundi durant la période du présent rapport.

Rapport d’analyse conjoint de la situation des droits humains au Burundi(octobre 2024-février 2025

4 Mai

RAPPORT N° 490 DE SOS-TORTURE BURUNDI PUBLIE LE 4 MAI 2025

Le présent rapport de SOS-Torture Burundi couvre la période du 26 avril au 3 mai 2025 et documente les cas de violations des droits de l’homme commis au Burundi.

Au cours de cette période, trois (3) personnes ont été assassinées dans la province de Bubanza.

Le rapport relève également le cas d’un (1) journaliste qui a été gravement torturé et séquestré au campus Mutanga, en mairie de Bujumbura par des représentants des étudiants de l’Université du Burundi et celui d’une (1) femme qui est arbitrairement détenue avec son enfant dans la province de Gitega.

Rapport hebdomadaire n° 490